Les Mystères des Terres de l'Exil
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-32%
Le deal à ne pas rater :
-32% Gigabyte G5 MF – PC portable 15,6″ – GeForce RTX™ 4050
749.99 € 1099.99 €
Voir le deal

Aller en bas
Ashran
Ashran
Date d'inscription : 30/10/2017
Messages : 36
Date de naissance : 13/06/1986
Age : 37

Identité du personnage
Nom du personnage: Ayane sei
Métier (MTERP): Artificier

Ayane Sei Empty Ayane Sei

Dim 22 Juil - 22:36
Ayane Sei Fiche_14
Ayane Sei Avatar12

Nom du personnage : Ayane Sei

Age : 16 ans

Ethnie : khitane

Religion : Set (Principale) , Derketha, (secondaire)
Alignement : Loyal mauvais

Métier MTERP : à découvrir en rp

langues maîtrisées : Khitan (Familliale), Stygien (Précaire pour le moment)

Armes et armures utilisées : Dagues, Arc

Ayane Sei Fiche_13

Taille : 1m40

Poids : 55kg

Apparence : Jeune fille de 16 printemps, les cheveux lisses et d'un noire profond, son corps est ornée d'une peau douce et et légèrement brunâtre à cause des assaut du soleil.
elle regarde le monde a travers ces yeux de feu, anomalie génétique de sa famille, sa peau et ornée de tatouages permanent d'un vert émeraude.

Personnalité : de nature sauvage, elle ne se laisse pas facilement approchée, généralement discrète et distante avec les gens quel ne connait.
elle a du mal a faire confiance à autrui par conséquent, celle-ci ce mérite, si tentez que l'on arrive à la dompter.

Ayane Sei Fiche_15


...Nous avions tous...

... La puissance, les secrets ...mais l'empire arrogant nous à tous arrachés...
... à ma famille...

Dans mes souvenirs, j'ai toujours entendu parler de ma nation d'origine, à travers les contes et les histoires de mon père,
des histoires...presque des légendes que l'on ce transmet d'une génération à la suivante.
maintenant mon seul pays est un désert de roche, qui ne nous appartient pas, le grand dévoreur le domine, par la peur et le respect de son culte.. est dans son ombre, se trouve d'autre divinité bien plus sombre encore.

je vis depuis toujours avec mon père, dans les montagnes de stygie, dans la province de Taïa, notre maison est à l'écart du village, nous somme rejeter a cause de notre différence.
d'après lui, ils ont peur de ce qu'ils ne connaissent pas...pourtant ils me traitent de sorcière a mon passage...a cause mon apparence...je ne leur répond pas, a sa demande...je sert les poing, et avance poursuivant mes occupations.
il dit que ce n'est rien...qu'ils nous finiront par nous accepter....mais ne serait-ce pas les mots d'un père pour rassurés sa fille ? comment croire cela alors qu'ils ont laisser ma mère mourir alors qu'elle m'offrais la vie ?

les années passes et ce ressembles toutes, toujours le même quotidien, toujours la même animosité envers ma famille, les rares qui accepte de nous parler sont un vieux prêtre du culte et femme du village, qui m'emploie dans une teinturerie pour faire ces couleurs.
le vieux prêtre Défaï l'kara se charge mon enseignement, érudit à ces heures perdu, il m'enseigne les connaissances, et me parle souvent du devoreur et de la déesse de la mort, mon père ma enseigné les recettes de mon peuple d'origine, notre langue et notre culture...ce quil en reste de ces souvenirs.

Mais au final...tous a une fin, l'histoire ce répète une fois de plus.
au beau milieux de la nuits alors que mon père travailler au dosage du chaudron, une bougie fondue trop proche des reserve d'ingrédient, s'en suivie une détonation qui soufla une bonne partie de la maison, mon père n'y a pas survécu.

quand j'ai retrouver mes esprits, la maisons était en ruine, lécher par les flammes, les villageois ce sont précipités sur place, m'accusant de l'avoir tué... mon propre sang, celui à qui je dois la vie...
le temps que le prêtre du village arrive sur place j'était au sol, lapidée par les habitants et en sang, accompagner des blessures de l'explosion...

ça garde eu tôt fais d'écarter la foule, qui scandait ma mort alors que mes forces m'abandonner.
je fut soigner, sommairement, par le prêtre.. la foule n'avait pas oublier, les jours qui suivirent, je les ai passées dans les ombres d'un cachot, mes larmes perlant sur ma joue.
la garde finie par m'amener devant le prêtre et la foule... Il prononça ma sentence, je sentie une certaine tristesse dans ces mots.. l'exile...

peut-être était-ce sa façon de me protéger de la foule en colère... je ne le saurais jamais..

...finalement, mon destin ne saura pas différent de la famille qui me donnas la vie...
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum